Julien Charbit : De l’alternance au statut d’associé chez Skapa

01/01/2023
Par Fabricia Waffo Fotso

Chaque parcours professionnel est unique. C’est une trajectoire tissée de choix, d’expériences et d’engagements. Dans cet article, plongez au cœur de l’histoire de Julien Charbit pour découvrir comment sa détermination, son audace et son dévouement lui ont permis de passer de l’alternance au statut d’associé influent. Un Portrait collaborateur, aussi inspirant que singulier. 

Portrait de Julien

Peux-tu te présenter pour les personnes qui ne te connaissent pas ?  

 

Je m’appelle Julien Charbit, j’ai 30 ans et je travaille chez Skapa depuis 6 ans. Si je devais me décrire, je dirais que je suis un passionné, notamment de musique et de boxe, ce sont deux choses qui font pleinement partie de mon quotidien. J’ai également un intérêt marqué pour tout ce qui concerne le développement personnel et les comportements humains, j’aime comprendre l’autre, cela nous en apprend beaucoup sur nous-même.

Pour décrire ma personnalité, je dirais que je suis quelqu’un de positif et de transparent, mais j’ai parfois besoin d’être dans ma bulle pour réfléchir.  

Quand tu étais plus jeune, quel métier te voyais-tu exercer ? Par quoi étais-tu intéressé ?  

J’ai toujours été très intéressé par la musique sans forcément vouloir en faire un métier.  J’ai aussi toujours été fasciné par deux choses : ouvrir un restaurant pour créer un univers dans lequel les gens s’invitent. Et enseigner, car j’aime le partage et le transfert de connaissances. Pour le resto, cela m’est passé en réalité. Puis on finit par aimer ce que l’on fait. Pour l’enseignement, ma carrière ne fait que commencer.  Qui vivra verra ! 

Retour sur ses débuts chez Skapa

Peux-tu me décrire ton parcours scolaire et professionnel, ainsi que la manière dont tu as découvert notre agence ?

C’est une question intéressante pour comprendre le contexte de mon arrivée chez Skapa. Lors de ma 1ère année de Master à l’Ifag, une école de commerce spécialisée notamment dans l’entrepreneuriat, nous avions une mission de groupe qui était la valorisation d’une entreprise en vue d’un potentiel rachat. Skapa fut l’objet de cette étude. C’est ainsi que j’ai pu rencontrer pour la première fois Jérôme et Jean-Marc, pour une (petit) collaboration d’une année.

Initialement, j’étais dans une alternance qui, pour tout te dire, ne me plaisait pas du tout, bien que ce fut une expérience professionnelle formatrice et enrichissante. Mais en soi, je cherchais au plus vite une porte de sortie, tu vois. Et pourquoi pas Skapa….? 

C’est là que l’histoire devient intéressante, nous avions conclu avec mon groupe que la recommandation principale de notre dossier de valorisation serait… Roulement de tambour… Le recrutement d’un commercial en alternance. Coïncidence, je ne sais pas ? Somme toute, l’idée a été bien reçue, mon CV était déposé sur leurs bureaux.

Comment ont-ils fait pour savoir que tu leur correspondrais ?

 

Je crois qu’ils ont vu en moi un potentiel et m’ont donné ma chance, tout simplement. Car il faut se le dire, à part du potentiel, je n’avais pas grand-chose à offrir à cette époque. Si, peut être la faim! La faim de vouloir changer d’alternance et d’entrer dans leur univers, qui semblait beaucoup me plaire, en tout cas bien plus que là où j’étais. J’étais donc été pris malgré zéro expérience en commerce BtoB, et une posture encore nettement à revoir. J’ai essayé de le leur rendre du mieux que j’ai pu. Et l’aventure continue maintenant depuis 6 ans.

Quelles ont été tes premières impressions à tes débuts ?  

Mes premiers souvenirs sont la bienveillance et le bon accueil. J’ai vite été accepté, guidé et mis sur des rails. Ensuite, on attendait de moi que je fasse le job, et que je sois attentif et motivé. Je me mettais beaucoup la pression, parce que je voulais être à la hauteur, mais cela ne venait pas vraiment d’eux. J’ai beaucoup appris depuis ce temps-là. Je peux même dire avoir changé sur plein d’aspects. 

Décryptage de son métier

Peux-tu nous détailler ton rôle au sein de l’agence et tes missions ? 

Mon rôle, aujourd’hui, est assez transverse, ma mission principale est de développer le business de l’agence. Je participe à tout ce qui touche de près ou de loin à cela : stratégie commerciale et opérationnelle, marketing, communication, recrutement, veille, … J’ai donc un objectif précis et une mission assez large. Cependant, nous grandissons de plus en plus et nous commençons à avoir des pôles et des équipes pour chacun de ces sujets. J’ai de plus en plus un rôle de suivi et de contributeur, sur la partie communication par exemple.

Tes journées sont-elles plutôt speed ou calmes ?  

Nous sommes une agence, c’est comme tout, il y a des moments de rush et des moments plus calmes. Je dirais que l’état d’esprit de la boite impose une attente en termes de qualité et d’excellence. Cela passe aussi par la rapidité d’exécution, mais sans pression excessive ou inutile ici. Mais lorsque j’ai des rendez-vous à préparer ou encore des propositions à faire. Ces choses-là s’ajoutent à une journée qui est déjà établie. Donc, parfois, les week-ends sont grassement attendus ! Oui, on aime les week-ends aussi.   

Comment se passe ta collaboration avec les autres collaborateurs de l’agence ? Quel est l’impact de leur travail sur le tien ?  

Ici tout le monde travail avec tout le monde. Évidemment, je suis en contact permanent avec les fondateurs de l’agence, mais finalement aussi avec les équipes métiers et communication. C’est une volonté, tous les pôles communiquent chez nous : leurs travails nourrissent le mien, et vice-versa. 

Qu’est-ce que tu aimes dans ton métier actuel ? 

J’aime les sujets que l’on adresse, et leurs diversités. J’apprends beaucoup de choses sur plein de métiers différents. J’aime savoir que nous innovons et impactons positivement les expériences de travail des gens, en France et dans le monde. Nous transformons les organisations pour qu’elles soient plus humaines et collaboratives. Cela me plaît beaucoup. C’est une vision et une mission, selon moi, intelligentes et utiles qui apportent une dynamique intéressante à laquelle j’adhère.

Enfin, j’ajouterais qu’au-delà du métier, c’est l’environnement dans lequel tu exerces qui est important. Chez Skapa, on est ouvert aux idées et à l’écoute. Chacun peut apporter sa pierre à l’édifice et participer à faire grandir son métier,  l’agence et sa vision. Il y a de la confiance et de la considération.  

Quel est le projet ou la mission qui t’a beaucoup marqué ? Et pour quelles raisons ?  

Les victoires et les défaites sont ce qui me marque le plus dans mon métier. Mon 1er RDV, c’était TF1, pas mal pour un début. Cela, je m’en souviens bien. Aussi, mon 1er gros projet remporté. Un process de vente très long, qui comportait de nombreuses étapes sans la garantie de réussite, mais avec une belle victoire à la clef. J’ai pris l’initiative de contacter un Top manager et de bypasser un peu le process. Ce qui s’est avéré être une stratégie gagnante, car de cela, nous avons eu la mission. 

Ce qui a été marquant pour moi, c’est que c’est un de mes clients les plus importants. Pour Skapa, cela a été un tournant puisque grâce à cette collaboration nous avons pu prendre davantage un virage sur le Change et c’est quelque chose que l’on voulait depuis un certain temps.  

Pour en cité un dernier, c’était une défaite, le client était un éditeur dans la sécurité gouvernementale. On avait passé beaucoup de temps dessus, mais un de nos concurrents nous à malheureusement devancé.  C’est le jeu ! On ne peut pas gagner à tous les coups.  

Chez Skapa, tu es choisi principalement pour ce que tu es. Les personnes prises se ressemblent en termes de savoir être, de mindset et de valeur.

Julien Charbit
Commercial
Ses impressions de Skapa

Qu’est-ce que tu aimes chez Skapa ?  

 

Beaucoup de choses, notamment l’autonomie qui nous est accordée, la philosophie d’entreprise et l’environnement de travail. À ce niveau-là, ils ont réussi à créer quelque chose d’intéressant. Nous avons réussi! En même temps, c’est un peu notre cœur de métier! Tout est fait pour que l’on s’y sente bien. Un autre point assez intéressant, est, toutes proportions gardées, que le profit et l’aspect financier semble être plus un indicateur de performance, du pôle commercial, mais aussi et surtout des projets, qu’un objectif en soi. Je vois ça plus ici comme un outil de prise de décision pour allier une santé financière et des aventures qui valent la peine d’être investies. Nous investissons d’ailleurs dans la R&D pour faire évoluer nos métiers et avons une académie pour transmettre nos savoir-faire.

Selon toi, quels sont les avantages de travailler chez Skapa ?  

L’environnement de travail est sain. Il y a les bénéfices d’une petite structure, c’est comme une petite famille. Ce qui est « cool », c’est que nos profils sont assez différents parfois et pourtant nous partageons les mêmes postures, mindset et valeur. Je trouve donc que les personnes qui intègrent Skapa sont des personnes avec qui je me sens bien et avec qui j’ai beaucoup à partager, dont j’ai beaucoup à apprendre.

Sur un autre plan, je trouve que les deux fondateurs se complètent assez bien. L’un se porte garant de l’excellence et nous y pousse, l’autre veille plutôt au confort de chacun. 

Ses ambitions

Quelles sont tes aspirations  personnelles et professionnelles?  

 

Sur le plan personnel, je vise à être une meilleure personne tous les jours pour moi et pour les autres. J’ai besoin de me diversifier et de me réaliser sur plusieurs plans, dans plusieurs disciplines d’esprits et de corps. Je pense de plus en plus à fonder une famille. La pression de la trentaine peut-être ! 

Sur le plan professionnel, chez Skapa, il y a certaines opportunités intéressantes et pour le moment les choses suivent leurs cours. Nous grandissons ensemble et mes responsabilités avec, ainsi que mon statut. Les liens se resserrent aussi. Pour le moment, l’aventure est toujours celle-ci, et c’est cool. Aujourd’hui, je suis associé à Jean-Marc et à Jérôme, une preuve de notre volonté commune de continuer ensemble. 

As-tu autre chose à rajouter ?  

Je finirais en disant que Skapa, c’est l’aventure. Les projets comme l’entreprise. Et que ces aventures on les vit ensemble. Est-ce que ça change de beaucoup de boites ? Je ne sais pas… Cela me fait penser à ce célèbre sketch : « il y a le bon chasseur, …! » Puis nos projets sont de plus en plus ambitieux et nous travaillons aujourd’hui beaucoup plus avec de grands groupes.

Pour finir, ce qui est signe d’une bonne ambiance aussi, c’est que nous gardons un très bon lien pro et perso avec nos anciens collègues. Ils sont toujours les bienvenus pour déjeuner à l’agence. Donc c’est cool.

Je crois que j’ai beaucoup dis « c’est cool », non ?

Fabricia Waffo Fotso
Social media manager and content creator